[news] Rappel des chroniques des albums de Mad Lion Records (2014)

Voici un rappel des dernières chroniques à propos des sorties du label Mad Lion Records

Krabathor - Lies + The Rise of Brutality(2014)

Krabathor - Orthodox+ Mortal Memories (2014)

Offence - R.A.W. (2014)

Anthem - Phosphorus (2014)

Catharsis -Rhyming Life and Death (2014)

 

[interview] Interview à Antonio Pantano (2014) [français]

Interview à Antonio Pantano 

(Antonio Pantano – Arcandia 2014)

Le premier album de Antonio Pantano vient de sortir comme autoproduction et se nomme Arcandia. Vu le haut niveau de l’album, votre wanderer a saisi l’occasion et a profité d’échanger sur ce sujet avec l’artiste. Bonne lecture ! 

Bonjour Antonio, d’abord je tiens à te féliciter pour ton travail. Que ce soit pour la musique ou pour l’objet, ton cd est un produit extrêmement peaufiné et intéressant. Peux-tu nous le présenter ?

Bien sur. Tu sais j’avais déjà en tête le résultat final. Concevoir le cd comme digipack c’était ce que je voulais. Ainsi il faut ouvrir le cd comme on ouvre un livre et en même temps l’aspect « papier », « cartonné » du digipack renforce l’idée d’un livre entre ses mains.

Combien de temps t’as fallu pour créer ton album dont je le rappelle tu as soigné le tout, l’histoire, l’écriture des musiques, et d’où as-tu tiré ton inspiration ?

J’ai commencé la composition en juin 2012. Comme tu peux le constater le tout m’a occupé pendant deux ans. J’ai eu le coup de foudre il y a deux ans en lisant en anglais le livre Le Trône de Fer (A Song of Ice and Fire) de l’écrivain George R. R. Martin. Je ne savais pas à l’époque que HBO avait tiré une série télé depuis le livre. J’ai eu le sentiment qu’il me fallait une bande son pendant la lecture et ainsi je me suis mis à écrire ma bande son. Du coup les titres Hymn to the Brave et Valley of the Dragons étaient nés. Et ainsi de suite les autres titres ont suivis. Je n’ai jamais perdu mon inspiration jusqu’au résultat final. 

Il y a un coté épique par moments qui peut faire penser à Rhapsody Of Fire. Quelles sont tes influences musicales ?

Je crois que tu as raison. J’admire beaucoup Rhapsody Of Fire et surtout le jeu de Luca Turilli. Je n’ai pas de honte à affirmer que j’ai grandi en écoutant vraiment beaucoup Queen et Rhapsody Of Fire qui à l’époque se nommait encore Rhapsody. Alors oui, je ne cache pas mes influences mais je crois en même temps avoir proposé un travail original.

Original sans aucun doute. Tu as réalisé aussi la carte du monde que tu as imaginé et où se déroulent les événements de ton album. Comment as-tu réalisé cela ?

Je me suis aperçu que, au fur et mesure que j’écrivais l’histoire, j’étais en train de créer un monde fantastique. Ce monde avait ses régions, les summer lands, les frozen lands ou la mer d’Orania et j’ai eu envie et je sentais la nécessité de  les visualiser et de les fixer sur une carte. Afin qu’il y ait une sorte de cohérence et afin de pouvoir proposer une produit encore plus intéressant et le complet possible. Je suis allé voir le site deviantart, site qui réunit plusieurs œuvres d’artistes, et j’ai cherché des cartes qui pouvaient m’être utiles. Malheureusement acheter et pouvoir utiliser l’une de ses œuvres coute très cher, trop cher et j’ai laissé tomber. J’ai laissé tomber mais pas vraiment. J’ai trouvé sur youtube plusieurs vidéos qui montrent comment réaliser une carte et petit à petit j’ai commencé à m’y mettre et j’ai pu réaliser ce que j’avais en tête. Finalement je crois avoir atteint un bon résultat.

Quand je disais que tu as réalisé ton album de fond en comble je n’exagérais pas. Tu t’es attelé aussi à la promotion en utilisant youtube ou en publiant ton album sur le site bandcamp.com. Qu’est-ce que tu peux nous dire à ce propos ?

Que ça a été très dur! En effet il faut vraiment se bouger. J’ai envoyé l’album à plusieurs labels. La plupart m’a répondu, négativement mais, elles ont répondu. Malheureusement elles ne sont pas très chaudes pour sortir un album instrumental avec des thématiques fantasy. En même temps j’avoue que en ce qu’il concerne le coté « social » j’ai pu assurer une promotion correcte. Peut être pas vraiment professionnelle mais je suis content de voir que l’album e été acheté en Italie et un peu partout dans le monde. 

artwork, layout © Antonio Pantano

artwork, layout © Antonio Pantano

Je crois que le but d’un artiste c’est vraiment celui de pouvoir faire partager et circuler son œuvre. Que l’on aime ou pas le plus important c’est que le message trouve son public.

Je suis d’accord. J’ai réalisé cet album pour moi. J’en ressentais le besoin et j’avais vraiment envie de créer quelque chose. Quelque chose qui puisse rester. En même temps en tant qu’artiste je suis heureux que beaucoup de gens puissent écouter cet album et j’espère l’apprécier.

L’album est disponible en format physique sur le bandcamp comme on a dit. Il n’y a pas de copie digitale, pourquoi ?

Je reviens à ce que l’on a dit avant. Mon but était de créer une œuvre complète: musique, une histoire, une carte, un cd qui s’ouvre comme un livre, pour proposer une expérience la plus complète possible. Mettre l’album en ligne signifie en lui ôter une part. Ce n’est pas seulement la crainte qu’il soit téléchargé illégalement. Je crois que si quelqu’un le télécharge il va écouter un titre ou deux, peut être au hasard, et il ne vit pas dans sa totalité l’expérience à laquelle je me suis consacré avec autant d’efforts.

Je crois que tu as entièrement raison. Cet album doit être écouté et dans un certain sens vécu. J’ai l’ai écouté allongé avec des écouteurs avec le livret entre mes mains et je me suis laissé embarquer. Je crois, et je ne pense pas que ce soit un défaut, que Arcandia est un album difficile. Il faut entrer dans un nouveau monde, essayer de le connaître, de connaître son histoire, sa géographie et interpréter ses lignes mélodiques, ses dialogues, ses bruits, ses sons et la totalité de cet « instrumental ». Il n’y a pas la facilité liée à une forme chanson plus classique couplet / refrain / solo et ainsi de suite. Il faut faire preuve d’une attention particulière qui sera récompensée au final.

Je crois que tu as vraiment saisi le tout. C’est un album de niche et il demande une certaine condition pour être apprécié. Parmi les critiques on m’a dit qu’il n’y a pas de chant.

Critique absurde puisque c’est évident que un album instrumental ne présente pas de chant. C’est comme si j’achetais une voiture électrique et puis je me plaignais qu’elle n’ait pas la même autonomie d’une voiture à essence. En même temps je crois que tu as contourné un gros problème. C'est-à-dire que l’utilisation d’un narrateur en voix-off qui raconte les aventures est fait au compte goutte. La narration ne casse pas la musique mais au contraire la met encore plus en valeur.

Il a été très difficile de réussir à bien doser le tout. Je crois que depuis que Rhapsody a enrôlé Christopher Lee comme narrateur le groupe a atteint le bon équilibre entre musique et narration. J’ai essayé de m’inspirer d’eux. En même temps je ne te cache pas que si je pouvais avoir dans mes rangs un chanteur tel que Fabio Lione, je pourrai alors essayer de composer différemment et envisager des titres chantés. Qui sait ?

Je ne crois pas que ça vaille le coup d’avoir Fabio Lione, étant donné qu’entre Angra, Rhapsody et Vision Divine il commence à être omniprésent. Juste encore une question sur l’histoire. Qui sont les personnages de Tarikk et de Symond ?

C’est moi. C’est moi en même temps. L’un représente ma part joyeuse et solaire. L’autre mon coté sombre et introspectif. Les voix des personnages sont les miennes par contre celle du narrateur est celle de Peter Baker de la BBC

Même si tu es en pleine promotion de Arcandia, est-ce que tu as déjà quelques idées pour l’avenir ?

Il est vrai que je suis en pleine promotion et j’avoue qu’une fois l’album terminé je suis en train de me poser un peu. J’ai vraiment beaucoup travaillé non stop pendant deux années et j’essaie de lever un peu le pied. En même temps j’ai quelques petites idées pour le futur et j’essaie de les mettre de coté et de les laisser germer. On verra bien.

Antonio je te remercie pour cette interview. Veux-tu le mot de la fin ?

C’est moi qui te remercie pour le temps que tu m’as accordé et je voudrai aussi saluer tous tes lecteurs et les inviter à rentrer dans le monde d’Arcandia.

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[interview] Intervista ad Antonio Pantano (2014) (italiano)

Intervista ad Antonio Pantano 

(Antonio Pantano – Arcandia 2014)

E’ appena uscito come autoproduzione il primo album di Antonio Pantano e si chiama Arcandia. Visto il valore dell’album, l’occasione era troppo ghotta et il vostro wanderer ne ha approfittato per fare una chiacchierata con l’artista. Buona lettura !

Ciao Antonio, prima di tutto vorrei farti i complimenti per il tuo lavoro. Sia musicalmente che come oggetto, il tuo cd è un prodotto estremamente curato e interessante. Puoi presentarcelo?

Certamente. Vedi avevo in mente precisamente il risultato finale. Concepire il cd come digipack era quello che volevo. In questo modo bisogna aprire il cd proprio come si apre un libro e allo stesso tempo l’aspetto cartaceo, “cartonato” del digipack rafforza l’idea di libro.

Quanto tempo hai impiegato per creare il tuo album, di cui ricordo ti sei occupato di tutto, dalla storia alla scrittura di tutte le parti strumentali, e da dove è nata questa tua idea?

Ho cominciato a comporre nel giugno 2012. Il tutto mi ha occupato per circa due anni come vedi. Ho avuto un colpo di fulmine due anni fa quando comincia a leggere in inglese il libro Le Cronache del ghiaccio e del fuoco (A Song of Ice and Fire) dello scrittore George R. R. Martin. Non sapevo ancora che dal libro era stata tratta la serie televisiva della HBO. L’idea che ho avuto è che mi sarebbe piaciuto avere una colonna sonora durante la lettura del libro. Cosi’ di getto sono nate le due prime composizioni Hymn to the Brave e Valley of the Dragons. Poi da cosa nasce cosa e non ho mai perso l’ispirazione fino al risultato finale.

In certi momenti, durante l’ascolto, si puo’ notare una componente epica che puo’ far pensare ai Rhapsody Of Fire. Quali sono le tue influenze musicali?

Guarda hai ragione. Ammiro molto i Rhapsody Of Fire e specialmente il modo di suonare di Luca Turilli. Non mi vergogno a dirlo ma ti posso dire che sono cresciuto ascoltanto tantissimo i Queen e i Rhapsody Of Fire che all’epoca si chiamavano ancora Rhapsody. Quindi si, non nascondo le mie influenze ma penso allo stesso tempo di aver proposto un lavoro originale.

Originale senza dubbio. Hai anche curato la cartina del mondo che hai immaginato e dove si svolgono gli avvenimenti del tuo disco. Come hai affrontato questa cosa?

Mi sono reso conto, man mano che componevo e che scrivevo la storia, che stavo creando un mondo fantastico. Questo mondo con le sue regioni, le summer lands, le frozen lands o il mare di Orania, avevo voglia e sentivo il bisogno di visualizzarle e di fissarle su una carta. Per avere una coerenza maggiore e poter proporre un prodotto ancora piu’ interessante e completo possibile. Sono andato sul sito deviantart che riunisce numerossissime gallerie di artisti e ho cercato delle cartine che mi potessero interessare. Purtroppo i prezzi per aquistare un’opera e poterla poi utilizzare sono troppo onerosi e ho lasciato perdere. Ho lasciato perdere fino a un certo punto. Ho cominciato a cercare su youtube diverse video su come realizzare una cartina, una mappa, e piano piano mi ci sono messo e ho realizzato quello che volevo. Quando non componevo, disegnavo e viceversa. Alla fine mi sembra di aver raggiunto un buon risultato.

Quando dicevo che hai curato il tuo album dalla A alla Z non esageravo. Hai anche dovuto occuparti della parte promozionale che sia utilizzare youtube o pubblicare l’album su bandcamp.com. Cosa ci puoi dire a proposito?

Che è un lavoraccio ! In effetti bisogna veramente darsi da fare. Ho inviato l’album a numerose case discografiche. La maggior parte mi ha risposto. Negativamente, ma mi ha risposto. Purtroppo non sono molto interessate a pubblicare un album strumentale a carattere fantasy. Allo stesso tempo riconosco che sotto il profilo dei “social media” sono riuscito a fare una promozione, forse non professionale, ma mi fa piacere vedere che il disco si vende in Italia e in tutto il mondo. 

artwork, layout © Antonio Pantano

artwork, layout © Antonio Pantano

Credo che lo scopo di un artista sia proprio quello di poter diffondere e far conoscere il proprio lavoro. Che piaccia o meno, l’importante è che il messaggio trovi un pubblico.

Sono d’accordo. Il disco l’ho fatto per me. Ne sentivo il bisogno e avevo davvero voglia di creare qualcosa. Qualcosa che possa restare. Allo stesso tempo come artista mi fa piacere che l’album possa essere ascoltato da più persone e che possa, spero, essere apprezzato.

L’album è disponibile in formato fisico su bandcamp come detto. Non è prevista la copia digitale, come mai?

Mi ricollego a quanto detto prima. Il mio scopo era di creare un’opere completa: musica, una storia, una mappa, un cd che si apre come un libro, per proporre una esperienza la più completa possibile. Mettere l’album in linea significa amputarne una parte. Non è solo la paura che sia scaricato illegalmente. Penso che se qualcuno lo scarica poi si sente un titolo o due magari a caso, non vive completamente l’esperienza che mi sono sforzato di creare.

Ti do’ pienamente ragione. Questo album va ascoltato e in qualche modo vissuto. Personalmento l’ho ascoltato sdraiato con delle cuffie e con il libretto tra le mani e mi sono lasciato trasportare. Penso, e non è un difetto, che Arcandia sia un album difficile. Bisogna entare in un mondo nuovo, cercare di conoscerlo, conoscere la storia, la geografia e interpretare le linee melodiche, i dialoghi, i rumori, i suoni e il tutto è strumentale. Non abbiamo la “facilità” di una forma canzone con le sue strutture più tradizionali come strofa / ritornello /  assolo e cosi via. Ci vuole un’attenzione particolare che poi sara’ premiata.

Credo che hai colto pienamente il tutto. E’ un album di nicchia e richiede una certa condizione per assimilarlo e apprezzarlo. Tra le critiche mi hanno detto che manca il cantato.

Critica assurda. Perché è logico che su un album strumentale non ci sia il cantato. E’ come comprare un’auto elettrica e lamentarsi che non abbia la stessa autonomia di una macchina che va a benzina. Allo stesso tempo credo che hai evitato un grosso problema cioè l’utilazzazione di un narratore che descrive le avventure del tuo mondo è fatto con parsimonia. La narrazione non interferosce sulla musica ma anzi la mette ancora più in risalto.

Guarda è stato difficile cercare di dosare il tutto. Credo che i Rhapsody da quando hanno “arruolato” Christopher Lee come narratore abbiano raggiunto il giusto equilibrio tra narrazione e musica. Ho cercato di ispirarmi dalle loro opere. Certo mi dico anche che se potessi avere a disposizione un cantante come Fabio Lione potrei allora cercare di comporre diversamente e proporre una forma canzone all’avvenire, chissà.

Fabio Lione non so se ti convenga visto che tra Angra, Rhapsody e Vision Divine comincia a essere dappertutto. Certo il suo talento è innegabile. Senti ancora una domanda sulla storia. Chi sono i due personaggi principali Tarikk et Symond?

Sono io. Sono io allo stesso tempo. Uno rappresenta la mia parte più gioiosa e vitale, l’altro la mia parte più pensierosa, cupa, riflessiva. Le voci dei personaggi sono mie. Mentre la voce del narratore è di Peter Baker della BBC.

Anche se sei in piena promozione per Arcandia, hai già qualche idea per il futuro?

E’ vero. Sono in piena promozione e ti confesso che una volta terminato l’album mi sto in qualche modo riposando un po’. I due anni di lavoro mi hanno dato veramente molto da fare e ora cerco di rilassarmi. Allo stesso tempo ho qualque idea per il futuro e cerco di lasciarla crescere e vedere che frutti dara’.

Antonio ti ringrazio per questa intervista. Vuoi concludere tu?

Sono io che ti ringrazio del tempo che mi hai dedicato e vorrei salutare tutti i tuoi lettori e invitarli nel mondo di Arcandia.

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Krabathor - Lies + The Rise of Brutality / Orthodox + Mortal Memories (2014)

Krabathor -  Lies + The Rise of Brutality / Orthodox + Mortal Memories (2014)

Mad Lion Records

Le label Mad Lion Records vient de mettre sur le marché un produit très alléchant. Il s’agit d’un double digipack limité à 500 exemplaires du groupe Krabathor qui réunit l’album Lies (1995) et l’Ep The Rise of Brutality (1995) sur un cd et l’album Orthodox (1998) plus l’Ep Mortal Memories (1997) sur le deuxième cd. Il faut juste rappeler que l’Ep The Rise Of Brutality est sorti avec quelques variantes en premier tirage 1995 ensuite comme split 1996, encore comme split en 2000 et enfin dans cette box.

Krabathor est un groupe polonaise underground actif depuis 1984 sous différents noms tels que Monster (1985), Hever (1986), S.A.M. (1986) et qui ensuite depuis 1987 changera définitivement en Krabathor. Si au tout début le groupe évoluait dans un style thrash / death metal petit à petit il a évolué dans un registre plus death metal même si sur certains titres on peu reconnaître une touche, une progression « à tiroirs » du thrash metal.

Le label Mad Lion avait déjà par le passé édité deux albums du groupe Only Our Death Is Welcome... et Cool Mortification sorti en cassette en 2000. Aujourd’hui cette publication rend hommage à un groupe de scène metal polonais. Ce double cd s’écoute d’un trait. Les deux albums présentent une cohésion et une force de frappe indiscutable. Le rythme est toujours soutenu même si ici et là apparaissent des titres plus calme pour laisser reprendre son souffle à l’auditeur comme par exemple l’instrumentale Believe. Musicalement Krabathor a des touches à la Vader, à la Behemoth (période death metal) ou encore à la Asphix. Les solos peuvent faire penser à Slayer tandis que certaines structures peuvent laisser imaginer une influence de Megadeth surtout de l’album Rust In Peace.

A la base de Krabathor on trouve le duo de musiciens Christopher et Bruno ou mieux Petr "Christopher" Krystof chanteur guitariste et Bronislav "Bruno" Kovařík bassiste chanteur. Les deux ont trouvé une alchimie indéniable dans l’écriture de chansons que ce soit les textes ou la musique, vocalement aussi ils sont très inspirés et musicalement ils sont très habiles dans l’utilisation de leurs instruments. Il faut juste rappeler que en 1999 Bruno, après sa séparation de Krabathor a fondé le groupe Hypnos avec le batteur Pegas qui avait était le batteur pour l’album de Krabathor Lies.

En conclusion si vous aimez le death metal bien exécuté, originale et avec un supplément d’âme, n’hésitez pas à acheter ce double album.

Score 10/10

Bandzone 

Mad Lion Records

Krabathor -  Lies + The Rise of Brutality / Orthodox + Mortal Memories (2014)

Disc 1 - Lies + The Rise of Brutality

1.         The Truth About Lies              

2.         Unnecessarity              

3.         Short Report on the Ritual Carnage                 

4.         Tears, Hope and Hate                         

5.         Pain of Bleeding Hearts                      

6.         Rebirth of Blasphemy                          

7.         Imperator (Strikes Again)                   

8.         Pacifistic Death                       

9.         Stonedream                  

10.       Believe...                     

11.       The Rise of Brutality (Intro)                 

12.       Pain That Doesn't Hurt                        

13.       The Truth About Lies              

14.       Unnecessarity              

                         

Disc 2  - Orthodox + Mortal Memories

1.         Orthodox                      

2.         Liquid              

3.         Shit Comes Brown                  

4.         To Red Ones                

5.         Tales of Your History                         

6.         Touch the Sun              

7.         Body as a Cover                      

8.         Total Destruction                     

9.         Parasites                      

10.       About Death                 

11.       Breath of Death                       

12.       Bestial War                 

13.       Apocrypha                   

14.       Orthodox                      

15.       Slavery                        

                        

[news] Cyhyraeth - Servant To The Fire (2014)

Cyhyraeth - Servant To The Fire (2014)

Le premier album du combo Cyhyraeth (thrash metal, melodic death metal) a vu le jour aujourd'hui sous forme d'autoproduction et se nomme Servant To The Fire.

Artwork and Design by Siege Industries

Cyhyraeth - Servant To The Fire (2014)
01. As the World Burns
02. Indoctrinate
03. A Farewell to Harm
04. Confliction
05. Mutation
06. Awakening
07. Aftermath
08. Calm Before the Storm
09. Suffocate
10. Servant to the Fire
11. Final Relapse 

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Cyhyraeth:
Jessica McCain – Vocals
Alex Jack – Guitar/Vocals
Zach Marsden – Guitar
Zach Palmer – Bass/Backing Vocals
Kenny Sisk – Drums

Recorded Mixed and Mastered at Westfall Recording Studios Farmingdale NY
Produced by Anthony Lopardo Stephen Murphy and Cyhyraeth
Recorded by Anthony Lopardo and Stephen Murphy
Mixed/Mastered by Ray Marte
Artwork and Design by Siege Industries

All Songs Written and Arranged by Cyhyraeth

 

[news] Eternal Sex And War - Negative Monoliths (2014)

Eternal Sex And War - Negative Monoliths (2014)

Le nouvel album de Eternal Sex And War (black metal) se nomme Negative Monoliths et il est disponible depuis aujourd’hui via Quality Steel Records.

Eternal Sex And War - Negative Monoliths (2014)

1. Nothing but Void 02:56
2. Heretic Reaktor 04:08
3. Endless Dogmatic Demolition 05:10
4. Bigotry of the Insects 04:12
5. Hallucinated by the Ungod of Exile 07:40
6. Megatons to Negate 04:57
7. Sarin Total Wipeout 02:34
8. Cyclone Demagogy 07:03 

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[news] LEAH - KINGS & QUEENS (2014)

LEAH's 2nd full-length album, entitled KINGS & QUEENS

“Kings & Queens," the highly anticipated new album from LEAH, is sure to be loved by fans of symphonic metal and female fronted rock. This album is powerful, beautiful and often dances on the edge of progressive. Most of all it’s hard not to be drawn into and enchanted by LEAH's diverse vocals.

Featuring musicians such as Timo Somers and Sander Zoer of DELAIN, and Barend Courbois of Blind Guardian and Vengeance, this 14-track masterpiece emerges as the heaviest of all her releases. Dabbling in worldly Celtic, middle eastern, and New-Age flavors, while lyrically laced with epic imagery of dystopias, fallen empires, spiritual warfare, love and destiny, this album proves to be very promising and is expected to be received by fans and critics as one of the top symphonic metal albums of the year.

"Kings & Queens" will be released on January 30th in Europe and February 3rd in North America and everywhere else.

The artwork for "Kings & Queens" was created by Jan Yrlund at Darkgrove Design [Delain, Apocalyptica, Sirenia]

"Kings & Queens" track listing:

01. Arcadia
02. Save the World
03. Angel Fell
04. Enter the Highlands  *(Instant download from iTunes and Bandcamp!)
05. In the Palm of Your Hands 
06. Alpha et Omega 
07. Heart of Poison 
08. Hourglass
09. Palace of Dreams
10. This Present Darkness
11. The Crown
12. Remnant
13. There Is No Farewell
14. Siúil a Rún (Acoustic Version)
15. Siúil a Rún (Bonus Rock Version) *(Available on iTunes and the Official LEAH Bandcamp site)

Pre-order "Kings & Queens" at the official LEAH store. Bundles also available!

*Available for pre-order on iTunes beginning November 22nd.

Pre-Order KINGS & QUEENS

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[news] PUTRID OFFAL - Suffering (2014)

PUTRID OFFAL - Suffering  - Kaotoxin (2014)

Cat.#: TOX044
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FOR FANS OF
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(old) Carcass, General Surgery and... PUTRID OFFAL!
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RELEASE DATES
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- 31.OCT: exclusive advance availability at listen.kaotoxin.com
- 10.FEB: all digital platforms
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OVERVIEW
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One of most legendary Goregrind bands from the early nineties, most surely (one of) the first French one(s), PUTRID OFFAL, is back after 20 years of being eaten by worms in its grave... but you can't kill what's already dead!

"Suffering" perfectly showcases what was, what is and what will be featuring not only the 2014 version of the title track that's also gonna appear on the "Mature Necropsy" comeback album to also be released on February 2015 and its original 1991 version (remastered) as it appeared on their cult split LP with Exulceration, but also a 2014 demo version of the same track (exclusive to this single) from when the band reunited and a totally exclusive brand new track, "Livor Mortis", which announces the direction the band will take on future releases: a perfect companion / complement to the album!

 

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NOTEWORTHY
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- Label-exclusive advance digital release for HALLOWEEN (Zombies ! Zombies everywhere !)
- Mastered by El Mobo at Conkrete Studio (We All Die (laughing), Otargos...)
- 100 copies limited COLLECTOR edition CD will be crowdfunded early 2015
- Features TWO exclusive tracks that will NOT appear on the band’s comeback album, « Mature Necropsy », to be released early February 2015
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LINE-UP
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2014
- Franck Peiffer - guitars & vocals
- Philippe Reinhalter - guitars
- Frédéric Houriez - bass & vocals

1991
- Franck Peiffer - guitars & vocals
- Frédéric Houriez - bass & vocals
- Boris - drums
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DISCOGRAPHY
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- 2015 - Mature Necropsy (full-length)
- 2014 - Suffering
- 1994 - Promo (demo)
- 1992 – Obscurum Per Obscurius (split w/ Supuration and more…)
- 1991 – Premature Necropsy (split w/ Exulceration)
- 1991 – At the sight of the Foul Offal (split w/ Agathocles)
- 1991 – Unformed (demo)
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LINKS
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- Kaotoxin records: info@kaotoxin.com
- Kaotoxin records Website : kaotoxin.com
- Kaotoxin records Shop : shop.kaotoxin.com
- Kaotoxin records digital Shop : listen.kaotoxin.com
- Kaotoxin records @ Facebook: facebook.com/kaotoxinrecords
- Kaotoxin records @ Twitter: twitter.com/kaotoxinrecords
- Kaotoxin records @ YouTube: youtube.com/kaotoxin
- Kaotoxin records @ Google+: plus.google.com/+kaotoxin
- Kaotoxin records @ SoundCloud: soundcloud.com/kaotoxin
- Kaotoxin Shop @ Facebook: facebook.com/KaotoxinShop

[news] EYE OF SOLITUDE - Dear Insanity (2014)

EYE OF SOLITUDE - Dear Insanity - Kaotoxin (2014)

Cat.#: TOX042
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FOR FANS OF
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Skepticism, My Dying Bride, Shape of Despair…
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RELEASE DATES
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- 03.NOV: preorders (shop.kaotoxin.com)
- 24.NOV: FR (Season of Mist)
- 01.DEC: EU (PHD)
- 02.DEC: N. America (MVD) & digital
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OVERVIEW
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UK masters of everything dark and heavy are back with an extremely limited blacker than black collector EP!

Since the release of their debut (Kaotoxin) full-length, “Sui Caedere”, EYE OF SOLITUDE have always explored new territories with each and every release. From the monolithic yet at times Gothic Metal-ish “Sui Caedere” to the Dante’s “Inferno”-based  theatrical play of “Canto III” (Kaotoxin’s best-seller to date!), or with their 2013 EP, “The Deceit” which featured guest vocals by both WE ALL DIE (LAUGHING) vocalists Arno Strobl (CinC / Carnival In Coal, 6:33…) and Déhà (COAG, Maladie…), the brand new EP, “Dear Insanity”, is no exception, seeing the band enter the darkest part of their desolate world for a 50 minutes long single song, a funeral veil of misery, agony and loss.

The loss of beloved ones, the loss of sanity, the feeling of being lost in a mental labyrinth to which the only exit is to become mad to appease the suffering with all the anguish, anxiety and pain it involves. What if the only options to choose from are either feeling infinite pain or loosing your mind to avoid the suffering? There’s no light, no hope. There’s no way out and the “Solitude” in the band’s name has never got such a full musical meaning before.

Lost. Forever. This is what “Dear Insanity” is all about: a transformation, a passage, a slow-motion fall from the celestial grace of the opening minutes into a bottomless downward spiral to the most abyssal darkness. But remember, despite it’s incredible length for a single song (nearly 50 minutes!), “Dear Insanity” is to be considered as an EP and no one knows what the future will be sounding like as EYE OF SOLITUDE are all about never staying comfortable with a “recipe”. All we can expect is what has always been the very essence of the band and that is, obviously, a large part of the “Dear Insanity” basis: touching moments of absolute grace (like the 2:30 long guitar / piano duet at 37:00), blasts of extreme musical suffering (like when the full band kicks in at the beginning of the EP), the darkest of melodies and a captivating, fascinatingly both incredibly heavy and extremely majestic sense for putting feelings of unsufferable pain and profound despair into soulfull pieces of gifted musical sensitiveness.

“Dear Insanity” is not only a (extremely collector musical) gift (to the band’s fans), experiencing the whole of the 50 minutes of it, alone, in the dark, at full volume, is like being extracted from this world of pain and be one with the majestic grace of being lost in yourself, saying goodbye to what once was your sanity.

Transcendence made music.
 

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NOTEWORTHY
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- The return of Kaotoxin’s best-selling artists with an extremely limited collector EP
- 500 copies collector EP on CD with NO repress (3 panels DigiSleeve)
- 100 copies collector cassette tape version with NO repress
- new merchandise line
- stunning artwork by Giannis Nakos of Remedy Arts Design (Sidious)
- Euro tour with Saturnus and Marche Funèbre in March 2015
- exclusive full-stream premiere at Terrorizer magazine (Nov.03)
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LINE-UP
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- Daniel N.: vocals
- Mark Antoniades: guitars
- Chris Davies: bass
- Adriano Ferraro: drums
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DISCOGRAPHY
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- 2015 - "The Ghost 2015" (working title)
- 2015 - split w/ Faal
- 2014 - Dear Insanity
- 2013 - Canto III (full length)
- 2013 - The Deceit (digital EP feat. We All Die (laughing))
- 2012 - Sui Caedere (full length)
- 2012 - Awoken by Crows (digital EP)
- 2011 - The Ghost (full length, soldout)
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LINKS
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